Un vent de révolte souffle sur le continent sud-américain et la Bolivie n'y échappe pas. Dans un contexte tendu, le président Evo Morales et son gouvernement ont été contraints de démissionner et de fuir dans d'autres pays d'Amérique latine. Si on sait que Morales s'est exilé au Mexique, certains se sont volatilisés sans donner de nouvelles, à l'image de Carlos Romero, le ministre du Gouvernement. L'ennui, c'est que ce même Romero pilotait à lui seul les Sport Boys Warnes, club professionnel de première division bolivienne.
Zum OriginalThomas ALLAIN-POULIQUEN
La Paz / Rennes
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