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Le sommeil profond à la croisée des chemins

Le sommeil profond  la croise des chemins
Le sommeil occupe entre un quart et un tiers de notre vécu terrestre. Cette période cyclique de notre existence est symptomatique de notre condition humaine. Puisque les êtres de la nature, pour ne prendre que leur exemple, ne vivent pas de semblables phases de sommeil profond et paradoxal, c’est que quelque chose de majeur s’y joue pour nous.

Les êtres du règne humain et ceux du règne animal domestiqué ressentent l’appel instinctif d’une phase de repos les déconnectant complètement de leur environnement physique. Ce sommeil profond se caractérise par un état léthargique et une difficulté dans le réveil. Il en est ainsi chez de nombreuses espèces animales placées sous la main de l’homme. Le corps a besoin de ce temps-là pour réaliser des ajustements que nous ne lui permettons pas de faire avec notre rythme de vie découplé de nos besoins physiologiques. Par exemple, le sommeil nocturne n'est nullement la règle chez beaucoup d'animaux sauvages.

Puisque nous passons notre temps à manquer de respect à notre corps, il a besoin du temps de sommeil pour éliminer les substances inutiles et métaboliser ce qui est nécessaire. La croissance de notre corps et sa régénération cellulaire s’effectuent majoritairement à ce moment-là. Nous cessons de le contraindre pour qu’il nous porte là où nos désirs l’exigent. Notre conscience endormie, il a tout le loisir pour reprendre la marche de sa mécanique parfaite.
Les voyages nocturnes au travers des corps subtils
Pendant longtemps, j’associais mes rêves à un vécu propre à la phase de sommeil paradoxal, mêlant mémoires, relâchement émotionnels, sorties astrales et rencontres avec diverses entités de l’invisible. Je plaçais tous ces rêves comme l’action de mon être dans le plan dimensionnel de l’astral. Ces rêves donnent le sentiment de participer à différents évènements dans des mises en situation parfois déroutantes.

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